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dimanche 10 août 2014

[INCIDENTS] Plus de 10 000 CRS abattus en marge de Bastia-Marseille

10561, c'est le nombre de CRS ayant été abattus par une centaine de supporters autour du Stade Armand-Cesari, hier, après le match qui opposait le Sporting Club de Bastia à l'Olympique de Marseille. A ce nombre, on peut rajouter quelques cent mille blessés. La communauté internationale est sous le choc. 






Ce sont de véritable scènes de guerres qui ont eu lieu samedi soir aux alentours du Stade de Furiani. Tout se passait tranquillement lorsque le bus des joueurs de l'Olympique de Marseille s'est approché d'une bande de deux à trois cents supporters du SCB habillés en short, lourdement armés (casquettes, smartphones, écharpes...). Ces individus, manifestement désireux d'en découdre puisque chantant à la gloire de leur club depuis de longues minutes ont logiquement été chargés par les CRS. C'est là que tout s'est enclenché. La première ligne de supporters en short a vivement molesté les forces de l'ordre qui n'avaient rien pour se protéger mis à part une armure, des boucliers, des matraques, des bombes lacrymogène, des flashballs et des tasers. Cette attaque a causé plus de 3000 morts en une vingtaine de secondes. Par la suite, des snipers installés sur les toits ont tiré sur des centaines de représentants des forces de l'ordre dans un chaos général. Installé sur le parking du Quick, le capo de la tribune Est a dans le même temps mis en marche sa mitrailleuse pour abattre dans un immense fracas tout ce qui portait un casque ou un képi dans un rayon de 2 kilomètres. C'est alors que l'immense char d'assaut bleu et blanc appelé "la sègue" (propriété du groupe Bastia 1905) est sorti de sa tanière sous la tribune Petrignani et a roulé sur la foule, envoyant roquette sur roquette dans les camions de CRS restant aux alentours.

"De la viande de flic, partout"

Les corps des policiers jonchaient le sol. Ils gisaient par terre, près du Quick, sous les camions à pizza, empalés sur les grillages. Le bouc parfois encore intact mais le regard éteint. Pendant ce temps là, la centaine de supporters a continué son massacre, avançant machettes à la main vers les quelques survivants, pour les démembrer et manger leurs corps encore chauds accompagnés de sauce Barbecue. Selon un touriste présent, il s'agissait d'une scène terrible : "Il y avait du sang, de la viande de flic, partout". Frédéric Thiriez, président de la Ligue de Football, ainsi que Ban Ki Moon, secrétaire général des nations unies, sont arrivés ce matin sur place pour constater le massacre. L'ONU réfléchit à une solution politique par l'éradication totale (ou la déportation) de toute personne se réclamant supporter du Sporting Clug de Bastia. Cette solution a été validée par la ligue et sera certainement bientôt mise en oeuvre par le gouvernement français, aidé des casques bleus qui deviendront dorénavant les casques orange puisque le bleu, suite à ces événements, deviendra une couleur internationalement interdite. Benyamin Netanyahu a déclaré sur twitter : "Sérieux, même moi, je suis choqué". Vladimir Poutine s'est dit quant à lui "impressionné par autant d'efficacité" et que "ces demi-arabes habillés en short, ils assurent grave". Il communique en outre aux supporters bastiais tout le soutien de la nation russe.
La situation est désormais revenue au calme, un cessez-le-feu a été prononcé par Bastia 1905 par voie de presse, mais les affrontements pourraient recommencer d'ici quelques heures.