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mercredi 30 juillet 2014

[FRAUDE ELECTORALE] Les juifs ne seraient pas le véritable peuple élu !

Le tribunal administratif de Bastia, après avoir annulé les élections municipales d'Ajaccio et de l'Ile Rousse, a été saisi sur l'élection très controversée des peuples. Après plusieurs siècles d'enquête et de délibérations, les magistrats ont retenu certains des griefs de l'opposition pour annuler l'élection du peuple juif. Ces derniers devraient bientôt faire appel de cette décision auprès du Conseil d'Etat. 



Les juifs ne sont plus le "peuple élu". C'est la grande révélation de la matinée au tribunal administratif de Bastia, institution judiciaire reconnue comme spécialiste mondiale de la fraude électorale. Les conclusions sont claires : une fraude de grande ampleur a été menée par la liste juive. Plusieurs centaines d'écrans plats et de machines à laver auraient été distribués auprès des électeurs la veille de l'élection dans le but de les corrompre.
 Yacine Mattez, l'un des leaders de l'opposition, témoigne: "Vous savez, ils ont dans leurs rangs les propriétaires des grandes chaines de magasins. C'est facile pour eux. Et avec la crise, les gens se sont laissés acheter. Mais ce n'est pas tout, il y a eu d'autres irrégularités". On dénombre pas moins de 1391 griefs retenus par le TA de Bastia. Moïse, la tête de liste, aurait par exemple passé la journée de l'élection ceint de son écharpe tricolore, ce qui est formellement interdit par la loi. De plus, à cause de la foule à l'intérieur des bureaux de vote, plusieurs millions de personnes n'ont pas pu passer par l'isoloir, ce qui a largement influencé le vote selon l'opposition. Des sympathisants de la liste juive auraient, en outre, distribué des enveloppes toutes prêtes aux électeurs qui patientaient dans la file qui menait aux urnes. Enfin, et ce n'est pas la moindre des erreurs, le bureau de vote centralisateur aurait fermé à 20h, au lieu des 18h prévus, et malgré ce retard on dénombre pas moins de 300 millions d'électeurs n'ayant pas pu déposer leurs bulletins à temps, à cause de la mauvaise organisation du scrutin (qui était à la charge de la liste sortante, la liste juive conduite par Moïse). Etant donné l'écart de seulement 72 millions de voix qui séparaient les deux listes au dépouillement, on comprend la colère de l'opposition.

"Même les Zuccarelli de la grande époque ne leur arrivent pas à la cheville"

Cette fraude a étonné l'ensemble des magistrats du Tribunal Administratif de Bastia, ainsi que les avocats. Guillaume Pulsant, le président, s'est confié à notre équipe, choqué : "En cent ans de fraudes, on en a vu des élections trafiquées. On a quand même vu passer tous les Giacobbi, les Vendasi, les Rocca-Serra, les Marcangeli. Mais là, excusez-moi, c'est du jamais vu. Même les Zuccarelli de la grande époque ne leur arrivent pas à la cheville, ils sont allés très, très loin. Notre réaction est mitigée : nous oscillons entre indignation et admiration, car il faut le reconnaître, ils sont forts".
Du côté juif on dément toute tentative de corruption ou fraude caractérisée, et on garde le moral : "Ce qu'on nous reproche, c'est d'avoir été généreux et attentionnés avec notre électorat ? Tout le monde le fait. On n'a jamais fraudé, on fait les élections dans la tradition. On ne se laissera pas faire, et nous comptons bien faire appel de cette décision complètement injustifiée. Nous croyons en la justice divine et nous savons qu'elle nous donnera raison"
En attendant, si l'appel confirme la sentence du Tribunal Administratif, de nouvelles élections des peuples devraient se dérouler avant la fin de l'année. Elles seront cette-fois ci contrôlées par les forces de l'ordre afin de s'assurer qu'aucune irrégularité n'entache le scrutin. La campagne a donc repris tambours battants, des deux côtés. Le suspense, en attendant, est grand. Plus que quelques mois, et l'on saura enfin si le peuple juif est, oui ou non, le peuple élu.


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